10 Commentaires
févr. 14Liké par La newsletter de 15marches

Bravo, j'aime lire ta newsletter et je sais que cela doit te prendre un temps fou pour trouver la matière et rédiger, donc merci

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Dans la conclusion de la lettre de Louis-David, je pense qu'il s'agit de "l'habileté" des consultants et non de leur "habilité". Habileté = capacité intellectuelle ou manuelle, don pour faire quelque chose ; habilité = capacité juridique à faire quelque chose (signer un contrat,...).

Nonobstant cette petite remarque sémantique, qui prouve que je lis avec attention, je remercie "15 marches" pour 2 informations : la nouvelle vision de Marc Andreessen, et les docs conçus par Louis-David Benyayer ; je vais acheter son 1er livre - Datanomics-, et parcourir l'ensemble des textes disponibles sur son blog.

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merci pour cet interview très éclairant sur l'avenir du consulting . Le challenge pour les cabinets qui se démarqueront par leur réelle capacité à "discerner les questions qui importent vraiment" sera de savoir monétiser aussi réellement cette capacité, tant la tentation sera grande côté client de considérer cette expertise comme une commodité.

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Merci Stéphane et Louis-David Benyayer pour ce partage. Je suis d'accord avec l'analyse de Louis-David qui est de dire qu'il y a un facteur d'adaptation plus lent aux technologies, pour des raisons culturelle, politique interne, règlementations, etc. Cependant je suis convaincue que le conseil comme beaucoup d'activités, va devoir se réformer petit à petit et je trouve intéressante, la réflexion de Jean-Louis d'attirer l'attention sur l'idée que le métier de conseil devra être plus centré sur la capacité d'analyser différemment de la multitude, le cas d'un client et que les données deviendront assez uniformes. Ce que je retiens aussi c'est "la personnalisation" du conseil. Une question qui n'a pas été soulevée et sur laquelle j'aimerais bien avoir ton avis Stéphane et celui de Louis-David, c'est : pourrait-il y avoir un phénomène d'éclatement du conseil, au sens où il y aurait plus de petites unités de conseil, très pointues, plutôt que de gros cabinets dominants, ceux-ci pouvant être amenés à l'avenir à travailler davantage avec ces "unités autonomes - ultra pertinentes dans leur domaine respectifs" ? Si la GenIA permet à chacun des consultants de travailler de manière plus rapide et plus approfondie sur leurs expertises, sans compromettre les données confidentielles de leurs clients, n'y aurait il pas par la même occasion, la tentation de ne pas se charger individuellement de coûts de personnels et de privilégier au contraire la coopération avec différents consultants indépendants ou dans le cadre de projets clients ponctuels ?

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Merci Stéphane pour cette discussion et tes stimulantes questions. C'est en plus un plaisir rare de se voir interrogé dans une publication qu'on déguste avec intérêt et plaisir chaque semaine.

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