Bonsoir. J'arrive après la bataille mais "wicked problem" se traduit par "problème pernicieux" ou "problème vicieux" (et non "méchant problème"). Il n'y a pas de "bon" ou de "mauvais" problème. Par contre il y a des problèmes complexes, compliqués à résoudre car ils ont des origines multiples et des conséquences pas toujours simples à évaluer...
"wicked" a été traduit dans différents articles que j'ai trouvé par pernicieux, fourbe, vicieux,...j'ai choisi "méchant" en essayant d'expliquer qu'on parlait bien de complexité, pas de jugement de valeur. J'en parle beaucoup plus longuement dans mon livre.
Très intéressant, 10 ans dans la même start-up (devenu scale-up) me permet de confirmer une bonne partie de ce qui est dit plus haut. A partir d'un moment la "bureaucratie" est inévitable car les enjeux sont plus importants. Mais il est essentiel de garder une part de "start-up mindset" dans la gestion de certains projets car c'est qui motive beaucoup de salariés à rejoindre une start-up à l'origine.
merci Damien. Le livre d'Ed Catmull est remarquable dans sa description des moyens mis en oeuvre chez Pixar puis Disney pour conserver cet état d'esprit. Dans votre cas, comment avez-vous fait pour le maintenir ?
Bonsoir. J'arrive après la bataille mais "wicked problem" se traduit par "problème pernicieux" ou "problème vicieux" (et non "méchant problème"). Il n'y a pas de "bon" ou de "mauvais" problème. Par contre il y a des problèmes complexes, compliqués à résoudre car ils ont des origines multiples et des conséquences pas toujours simples à évaluer...
"wicked" a été traduit dans différents articles que j'ai trouvé par pernicieux, fourbe, vicieux,...j'ai choisi "méchant" en essayant d'expliquer qu'on parlait bien de complexité, pas de jugement de valeur. J'en parle beaucoup plus longuement dans mon livre.
Très intéressant, 10 ans dans la même start-up (devenu scale-up) me permet de confirmer une bonne partie de ce qui est dit plus haut. A partir d'un moment la "bureaucratie" est inévitable car les enjeux sont plus importants. Mais il est essentiel de garder une part de "start-up mindset" dans la gestion de certains projets car c'est qui motive beaucoup de salariés à rejoindre une start-up à l'origine.
merci Damien. Le livre d'Ed Catmull est remarquable dans sa description des moyens mis en oeuvre chez Pixar puis Disney pour conserver cet état d'esprit. Dans votre cas, comment avez-vous fait pour le maintenir ?
A encadrer dans tous les open spaces ;)