Bonjour Stephane, un petit commentaire entant qu'ancien trader de petrole, si, si !
au sujet du prix du Jet, le carburant des avions a réaction, les compagnies aériennes ont pris l'habitude depuis le debut des années 90 de gerer le risque de fluctuation a moyen long terme;
l'episode COVID et la baisse des prix va mettre un (long) moment a apparaitre positivement sur leurs comptes car en ce moment, plus probablement, les compagnies doivent payer les pertes qu'elles font sur les contrats a termes qu'elles ont pris sur les marchés dérivés pour se proteger car ces contats pré datent le "choc" de la demande et sa baisse de prix (cette baisse d demande est accessoirement un autre souci car cela veut dire que les compagnies se retrouvent "longues" d'un jet papier fort cher sans contrepartie physique....; cela les empeche ir)oniquement de profiter pleinement de la baisse du "spot";
ma foi pas grand chose et ce pour plusieurs raisons :
je ne suis plus dans ce métier depuis maintenant 20 ans;
je n'ai pas lu les analyses de Mr Auzanneau,
Je pense par ailleurs que toute prospective sur le pétrole est vaine, je crois que nos prédictions sur le systeme géoclimatique sont plus fiables, pour ce que ça vaut, et tant mieux !
mais c'est un sujet qui passionne les foules et fait la une régulièrement et donc nombreux sont ceux qui voudraient en faire sens et le passer au crible d'une analyse dite fondamentale;
mais au risque de me répéter, , je pense que personne ne sait ce qu'il va advenir du prix du pétrole (d'(aillerus on devrait parler des rpix car il y a une grande différence entre le prix "americain" , asiatique et européen), on peut prédire plus ou moins bien l'offre maximale, ses sources, et sa flexibilité, c'est a peu près tout... c'est déjà pas mal et dot diriger les politiques énergetiques et les strategies géopolitiques des nations, avouées ou pas;
Bonjour Stephane, un petit commentaire entant qu'ancien trader de petrole, si, si !
au sujet du prix du Jet, le carburant des avions a réaction, les compagnies aériennes ont pris l'habitude depuis le debut des années 90 de gerer le risque de fluctuation a moyen long terme;
l'episode COVID et la baisse des prix va mettre un (long) moment a apparaitre positivement sur leurs comptes car en ce moment, plus probablement, les compagnies doivent payer les pertes qu'elles font sur les contrats a termes qu'elles ont pris sur les marchés dérivés pour se proteger car ces contats pré datent le "choc" de la demande et sa baisse de prix (cette baisse d demande est accessoirement un autre souci car cela veut dire que les compagnies se retrouvent "longues" d'un jet papier fort cher sans contrepartie physique....; cela les empeche ir)oniquement de profiter pleinement de la baisse du "spot";
Merci Nicolas très juste. Sur les évolutions du prix du pétrole que penses tu des analyses de Matthieu Auzanneau ?
ma foi pas grand chose et ce pour plusieurs raisons :
je ne suis plus dans ce métier depuis maintenant 20 ans;
je n'ai pas lu les analyses de Mr Auzanneau,
Je pense par ailleurs que toute prospective sur le pétrole est vaine, je crois que nos prédictions sur le systeme géoclimatique sont plus fiables, pour ce que ça vaut, et tant mieux !
mais c'est un sujet qui passionne les foules et fait la une régulièrement et donc nombreux sont ceux qui voudraient en faire sens et le passer au crible d'une analyse dite fondamentale;
mais au risque de me répéter, , je pense que personne ne sait ce qu'il va advenir du prix du pétrole (d'(aillerus on devrait parler des rpix car il y a une grande différence entre le prix "americain" , asiatique et européen), on peut prédire plus ou moins bien l'offre maximale, ses sources, et sa flexibilité, c'est a peu près tout... c'est déjà pas mal et dot diriger les politiques énergetiques et les strategies géopolitiques des nations, avouées ou pas;
Comme toujours une newsletter passionnante et étayée. Bravi Stéphane pour maintenir ce niveau de qualité
Merci beaucoup Jean-Louis ! Ça le fait bien plaisir. À bientôt à Lyon ou Rennes